artist: Stefano Canto chorégraphie: Ashai Lombardo Arop conservateur: Valentina Gioia Levy music: Alessandro Angiolillo
danseurs: Emma Goudiaby, Xavier Goudiaby, Bakari Marega, Marie Rose Sané de la compagnie ARTEA de Marianne Noix.
«La danse est une architecture éphémère, conçue à partir du corps” (Jean Nouvel)
Stefano Canto a produit, avec la collaboration de la chorégraphe Ashai Lombardo Arop, un travail qui combine les arts visuels et la danse. L’artiste crée une série de béton et d’acier sculptures qui envahissent l’espace d’exposition du musée comme des squelettes de villes détruites, tandis que dans le cadre d’une performance, un groupe de danseurs dirigé par le chorégraphe afro-italienne interagir avec eux en les utilisant comme un dispositif d’imagination originale. Dans ce travail, il est l’organe qui définit l’architecture. Les mouvements des danseurs complètent les structures et architectures dessinent dans le rappelle l’air de Le Città Invisibili par Italo Calvino.
Le travail chorégraphique a été créé lors d’un atelier de trois jours, organisé par le chorégraphe Ashai Lombardo Arop avec quatre jeunes danseurs locaux.